
Végétarisme, végétalisme, véganisme, antispécisme : quelles différences ?
Au-delà des questions éthiques, notre alimentation joue un rôle crucial dans la protection de l’environnement.
Au-delà des questions éthiques, notre alimentation joue un rôle crucial dans la protection de l’environnement.
Le technofascisme désigne l’usage des technologies numériques – entre autres les réseaux sociaux, l’intelligence artificielle et la surveillance de masse – afin de promouvoir, renforcer et faciliter des idéologies plutôt autoritaires et fascisantes.
Il est de bon ton de rappeler également ce qu’est le fascisme, puisque les fascistes eux-mêmes semblent croire que ce sont leurs opposants, les fascistes.
Les difficultés économiques du quotidien amènent à d’autres préoccupations – plus immédiates – que de protéger l’environnement. Il est en effet plus facile de lutter pour les autres quand nous-mêmes ne sommes pas en danger.
La fabrique du doute, cycle continuel de fake news, de raccourcis intellectuels et de conflits d’intérêts, continue de désinformer les citoyens sur la réalité de certains pesticides, glyphosate en tête.
Les militants, bien au fait de la crise environnementale en cours et à venir, essaient par tous les moyens d’alerter et ce depuis au moins 50 ans, sur cette crise.
L’un des problèmes encore trop peu évoqué quand on parle de crise environnementale, c’est la sécurité alimentaire. En effet, le réchauffement climatique – entre autre chose – a pour effet un appauvrissement des récoltes et donc, in fine, des prix qui s’envolent dans le meilleur des cas (enfin, pour les personnes les plus aisées seulement) et une raréfaction des ressources et donc des pénuries dans le pire des cas, ayant pour effet une insécurité alimentaire.
La grogne des agriculteurs n’en finit pas de grandir, et comme lors de la plupart des mouvements sociaux, il y a des dégradations. Cependant, on ne peut que constater que les agriculteurs possèdent un totem d’immunité, là où les militants écologistes se font matraquer par les forces de l’ordre dès qu’ils revendiquent quelque chose
Les officiels réunis à Dubaï ont finalisé d’entrée de jeu la mise en œuvre d’un fonds qui aiderait à indemniser les pays vulnérables qui luttent pour faire face aux pertes et aux préjudices causés par le changement climatique. C’est une avancée majeure – sur le papier – au premier jour de 28ème COP.
ous faisons face aujourd’hui à une succession de sécheresses qui affectent particulièrement les nappes. Nous les sollicitons beaucoup pour nos usages quotidiens mais également pour l’agriculture et pour le secteur industriel. Ces usages nécessitent une eau de qualité, et celle des nappes phréatiques est idéale pour ça. Néanmoins, nos usages déraisonnés font que les nappes ne se rechargent plus assez et, d’année en année, le risque d’une pénurie d’eau grandit.
37000 espèces exotiques (espèces introduites volontairement ou non dans une région donnée) ont été analysées. Parmi elles, seules 3500 sont dites « envahissantes ». Hé oui, une espèce exotique n’est pas forcément une plaie pour les écosystèmes locaux !