
Catégorie : Écologie

Pourquoi le bien-être animal est-il primordial pour comprendre l’écologie ?
Une grande partie des personnes engagées se heurte à une dissonance cognitive : prôner un monde durable tout en continuant à consommer de la viande ou des produits d’origine animale, ou à tolérer / fermer les yeux sur l’exploitation animale.

Les pesticides, ce drame que la science ne veut pas voir
La fabrique du doute, cycle continuel de fake news, de raccourcis intellectuels et de conflits d’intérêts, continue de désinformer les citoyens sur la réalité de certains pesticides, glyphosate en tête.

Crise environnementale : Personne n’est prêt (2/5)
L’un des problèmes encore trop peu évoqué quand on parle de crise environnementale, c’est la sécurité alimentaire. En effet, le réchauffement climatique – entre autre chose – a pour effet un appauvrissement des récoltes et donc, in fine, des prix qui s’envolent dans le meilleur des cas (enfin, pour les personnes les plus aisées seulement) et une raréfaction des ressources et donc des pénuries dans le pire des cas, ayant pour effet une insécurité alimentaire.

28 COP plus tard
Les officiels réunis à Dubaï ont finalisé d’entrée de jeu la mise en œuvre d’un fonds qui aiderait à indemniser les pays vulnérables qui luttent pour faire face aux pertes et aux préjudices causés par le changement climatique. C’est une avancée majeure – sur le papier – au premier jour de 28ème COP.

Crise environnementale : Personne n’est prêt (1/5)
ous faisons face aujourd’hui à une succession de sécheresses qui affectent particulièrement les nappes. Nous les sollicitons beaucoup pour nos usages quotidiens mais également pour l’agriculture et pour le secteur industriel. Ces usages nécessitent une eau de qualité, et celle des nappes phréatiques est idéale pour ça. Néanmoins, nos usages déraisonnés font que les nappes ne se rechargent plus assez et, d’année en année, le risque d’une pénurie d’eau grandit.

IPBES : Le rapport sur les espèces exotiques envahissantes
37000 espèces exotiques (espèces introduites volontairement ou non dans une région donnée) ont été analysées. Parmi elles, seules 3500 sont dites « envahissantes ». Hé oui, une espèce exotique n’est pas forcément une plaie pour les écosystèmes locaux !

Médias : Couvrir la crise environnementale n’est plus une option
Le réchauffement climatique d’origine anthropique fait consensus au sein de la communauté mondiale, il est donc important que ce sujet soit traité correctement par les médias : inviter un climato-sceptique sur un plateau TV ou dans les colonnes d’un journal n’est pas « ouvrir le débat », mais dangereux, surtout quand en face il n’y a pas de scientifique pour réfuter les fake news colportés par ces charlatans qui ne cherchent que l’inaction afin de protéger leurs intérêts.

Les forêts à l’heure de la crise environnementale
En effet, que ce soit pour se nourrir, se loger ou encore se chauffer, les forêts ont toujours été une source de matériaux divers que l’espèce humaine a su transformer et utiliser pour ses différents usages. Mais à force de les exploiter, ces forêts se sont appauvries ou ont même complètement disparu.

On ne dissout pas un soulèvement.
Les soulèvements de la Terre étaient sur la sellette depuis longtemps, suite à une série d’actions, de Saint-Soline à la Loire-Atlantique, en passant par le projet de TGV Lyon-Turin.

Répondre aux discours de l’inaction climatique
Les scientifiques et les membres des gouvernements qui prennent part à la rédaction des rapports du GIEC affirment qu’il est maintenant “indiscutable que le réchauffement climatique actuel est d’origine anthropique”.
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